Après la lecture du « Convoi de l’eau », j’ai eu envie de lire un autre roman de cet auteur japonais. Chez mon libraire, seul « Naufrages » écrit en 1982, était à disposition mais pourquoi pas « Naufrages » d’autant plus qu’il y est question de naufrageurs et que les anciens de mon village insulaire racontent des histoires de naufrageurs?
Un village isolé sur une falaise d’une côte rocheuse dangereuse est exposé à de rudes conditions climatiques. La vie traditionnelle des villageois est dure et il arrive que ce soit le pillage d’un bateau naufragé qui assure la survie de la population pour un à deux ans. De là à souhaiter que surviennent des tempêtes et des naufrages… Très beau roman.